Dans cette interview, Leclerc partage également ses souvenirs de sa première expérience en karting, une passion qui a commencé par hasard lors d’une visite à la piste de karting de Philippe Bianchi, le père de Jules Bianchi.
“J’ai menti à mon père en lui disant que je ne me sentais pas bien, se rappelle-t-il. Je lui ai dit que j’étais malade, mais ce n’était pas vrai, je ne voulais simplement pas aller à l’école et il m’a cru, alors il a dû me garder avec lui. Par coïncidence, il devait aller voir son meilleur ami, Philippe Bianchi, qui s’occupait d’une piste de karting à l’époque, à une heure et demie de Monaco, et je l’ai accompagné. À partir de ce moment-là, c’était clair que je voulais faire ça.”
Charles Leclerc évoque aussi l’influence de Jules Bianchi, son mentor, et l’impact de sa disparition tragique en 2014. Le décès de son père en 2017, survenu deux ans après celui de Jules, a été un moment particulièrement difficile pour lui. Cependant, ces épreuves ont renforcé sa détermination à réussir.
“Les personnes que j’ai perdues étaient celles qui voulaient le meilleur pour moi, et à chaque fois que je me posais la question de savoir ce qu’ils voudraient que je fasse, la réponse revenait assez vite : mon père voudrait juste que je mette le casque et que j’aille gagner des courses” explique-t-il.
Source de l’article : https://f1i.autojournal.fr/infos/confessions/charles-leclerc-le-gladiateur-de-ferrari-en-quete-de-gloire/
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